Fanfic newport "Welcome Back To The OC"par Auteach

Et oui encore une fanfic sur newport beach
Mais je me suis dit il fallait bien cela vu que celle de rayanyan nous laisse au paroxisme et sans suite
C'est pour cela que je vous présente celle la
Avec "que" 5 épisodes malheureusement.Nous les fans nous ne sommes jamais rassasier lol
Et je pense vous proposé trés prochainement une nouvelle fic mais qui cette fois sera sur Les freres scott
Enjoy
Et j'oublié ... je posteré un épisode tout les 3 jours

Episode 1

Part A

Ryan entrouvrit la porte. Une odeur familière lui monta aux narines, le submergeant de souvenirs. Ca faisait si longtemps qu’il n’avait pas remis les pieds ici. Non pas qu’il n’en avait pas envie, mais plutôt pas l’occasion. Pas le courage ?
Revenir dans cette maison qui avait été sienne pendant plus de 4 ans, ce n’était pas la plus grosse part du marché. Non, évidemment. Mais il s’était passé tellement de choses ici. Des bonnes et des mauvaises, la vie est faite ainsi. C’était surtout des choses qui avaient chamboulées son existence jusqu’au plus profond de son être. A la minute même où il avait mit le pieds dans cette maison, et bien qu’à l’époque il n’aurait jamais pensé à ça, sa vie avait changé du tout au tout.
Il avait gagné une famille. Une vraie famille. La famille typiquement américaine, celle qui fait bien en photo, dans un cadre doré, posée sur la cheminée.
Il avait aussi gagné un bon lot d’ennuis (quoique ça il connaissait déjà bien), de soucis, de tristesse. De joie.
- A quoi tu pense ? fit une voix, tremblante dans le fond de son âme.
- A toi bien sûr, commenta le jeune homme à voix haute. Comment pourrais-je revenir ici sans penser à toi ?
- J’espère que tu ne garde que les bons moments, fit la voix vibrante.
- Les bons moments ? On en a eut ? s’étonna-t-il.
Il lui sembla entendre un rire cristallin.
- Oh, ça oui, on en a eut.
- Mais le drame faisait partie de notre vie hein ? On n’a pas pu y réchapper.
- C’est à moi que tu demande ça ? fit la voix féminine, voluptueuse. Tu sais bien comment ça a fini.
- Je n’oublierais jamais ça. Ca fait partie de moi. Tu fais partie de moi.
- Je sais. Je ne serais pas là à te parler sinon.

Ryan entra dans la maison. Du moins, ce qu’il en restait. Les Cohen n’avait pas eut le cœur de la démolir. Ils avaient suffisamment d’argent pour une dizaine de générations, alors ils avaient fait consolider les fondations. Histoire que la maison reste debout.
C’était un peu puéril s’étaient-ils dit, de garder une maison que plus jamais personne ne pourrait habiter. Une maison qui ne serait plus jamais LEUR maison. Mais au moins comme ça leurs souvenirs resteraient intacts. Ils voulaient préserver ça. Ils avaient tous vécu tant de choses ici, que même un tremblement de terre de magnitude 6.8 ne pouvait effacer ça.
Et puis, ils voulaient faire ça pour Sophie. Afin que la petite connaisse cet endroit.

- Tu rentre ou tu reste sur le palier ? demanda Seth devant l’air hésitant de son meilleur ami.
- Vu l’odeur je crois que je rentre, fit-il dans un sourire.
- Ouais, j’ai fait un barbecue sur la terrasse. Enfin, sur ce qui reste de la terrasse.
Ryan lui dédia un sourire.
- T’inquiète, ça ne va pas nous tomber dessus, fit Seth d’un air insolent.
Ryan arqua un sourcil.
- Dois-je te rappeler quel est mon job déjà ? Non ? C’est bien ce que je pensais.
Seth lui dédia un sourire à pleine dent et retourna vers la préparation de leur repas.
Ryan resta un peu en arrière, un vague sourire sur les lèvres.
- T’en reviens toujours ici ? relança la voix de son cœur.
- On dirait bien ouais. Enfin, ça doit être normal je suppose. On finit toujours par revenir au dernier endroit où l’on a réellement été heureux hein ? Oh, ne t’inquiète pas surtout. Je passerais te voir.
- Ca c’est gentil. Je ne reçois pas beaucoup de visites ces derniers temps.
- Bon ?! Tu te bouge ? fit la voix de Seth depuis l’extérieur.
- J’arrive, j’arrive, fit Ryan en suivant le même chemin que son ami avait prit quelques secondes auparavant.
Le jeune homme s’arrêta net devant la piscine vide, la regardant d’un air morose et nostalgique.
- Ouais, ça fait bizarre, même 7 ans après, hein ? fit Seth en s’approchant de lui.
- Hmm.
- Toujours aussi loquace.
- Toujours aussi bavard, rétorqua Ryan. Ou plutôt, ajouta-t-il en se tournant vers son ami avec un grand sourire collé sur le visage, toujours aussi bavard Môsieur Summer Roberts.
- Môsieur… Hein ?
- Ben oui, t’es un homme marié à présent. Je sais, ça fait bizarre.
- Non, non, ça faisait des années que je me préparais à ça.
- Ca ne m’étonne pas, murmura Ryan en haussant les sourcils d’un air moqueur, ce à quoi Seth répondit par un petit sourire gêné.
- Non, mais pourquoi « Môsieur Summer Roberts ». C’est moi qui l’ai épousé.
- Hmm, hmm, je sais. Mais t’espérais vraiment lui mettre la corde au cou ?
- Heu… C’est ce que j’ai fait.
- Oh mon dieu. Ca fait quoi ? 11 années que Summer et toi êtes en couple, si on ne tiens pas compte de vos ruptures et de vos départs pour travailler pour des organisations humanitaires ?
Seth fronça les sourcils.
- Hmm. Oui, un truc dans le genre.
Ryan posa la main sur l’épaule de son ami.
- Et tu n’as toujours pas compris que Summer Roberts resterais toujours Summer Roberts, la peste qui a mis 6 mois à connaître ton prénom ?
- Heu…
- Bon courage mec.
Seth se renfrogna.
- Mes steaks vont cramer, lâcha-t-il.
Ryan se pencha vers le barbecue.
- Je crois que c’est déjà fait.
Seth ouvrit la bouche, puis ouvrit de grands yeux, avant de relaisser tomber ses épaules en signe de dépit.
- Heureusement que j’ai amené de la bière, fit Ryan avec un grand sourire.
- Parce que tu crois vraiment qu’on va pouvoir se nourrir avec ça ?
- Oh, ce n’est pas comme si on l’avait déjà fait, fit le plus blond en roulant des yeux.
- Ouais, enfin à l’époque je vivais dans ma chambre d’étudiant vraiment vraiment minuscule, et t’avais eut la bonne idée de te pointer à l’improviste.
- Et alors ?
- Et alors maintenant je suis un homme marié et toi tu es… heu… T’es… Toi quoi.
Ryan regarda le pack qu’il avait déposé sur la table.
- Je ne sais pas si t’es assez âgé pour ça finalement, fit-il d’un ton appréciateur.
- Ha-ha. Ryan Atwood aurait-il trouvé la voix de l’humour ?
- Je crois que j’ai passé trop de temps à te côtoyer. Ca n’a pas dû m’aider à garder mon intégrité mentale.
Seth rigola, attrapa deux bières, en lança une à Ryan et se laissa tomber sur le sol de béton.
- Bon ben… Buvons, conclut-il.

Part B

Les deux garçons sursautèrent en entendant la vieille porte bancale de l’entrée s’ouvrir et virent approcher vers eut une tornade blonde.
- Seth, Ryan, piaula une petite fille de sa voix la plus aigüe.
La petite fille se planta devant ses frères et leur lança un sourire désarmant. Elle savait que ça marchait toujours sur eux. Elle n’avait que 7 ans, mais elle les manipulait déjà mieux que Julie Cooper Nichol (etc) à sa plus glorieuse époque.
- Hey princesse, fit Seth en ouvrant les bras.
La petite fille l’ignora superbement, et alla déposa un baiser retentissant sur la joue de Ryan.
- T’adore faire ça hein ? lança Seth d’un ton accusateur vers sa petite sœur. Je pensais qu’avec la différence d’âge, je réussirais à avoir une once d’autorité sur elle, mais apparemment je me trompais sur toute la ligne, soupira-t-il en prenant Ryan à témoin.
Sophie se tourna alors vers lui et l’entoura de ses petits bras potelés.
- Mais non, tu sais bien que je t’aime grand frère, ajouta-t-elle en fourrant sa tête blonde dans l’épaule de Seth.
- Je crois que je ne suis pas sorti d’affaire avec elle, fit le jeune homme en direction de son ami, qui lui répondit par un regard désespéré.
- Et nous donc, fit la voix de forte de Sandy.
- Haaaa, on se demandait quand vous alliez arriver, lança sarcastiquement Seth, pendant que Sophie se précipitait en riant de l’autre côté du jardin.
- Ne t’éloigne pas chérie, cria Kirsten à son attention.
- Je crois que tu n’y arriveras jamais, fit Ryan.
- Oui, ce n’est pas une Cohen pour rien. Elle n’écoutera jamais ce qu’on lui dit, rétorqua Seth.
- Peut-être, mais elle est quand bien plus agité que Seth l’étais à son âge. Elle a vraiment un trop plein d’énergie à dépenser, ajouta Sandy en regardant la petite fille jeter des caillou dans la piscine vide. Je me demande de quel côté de la famille ça lui vient, continua-t-il en jetant un regard en biais à Ryan, qui était devenu d’un beau rouge pivoine.
- Mais heu… Je n’ai rien fais moi, se défendit le jeune homme. C’est pas de ma faute à moi si vous m’avez laissé seul en sa présence quelques soirs. Je n’ai rien tenté de lui apprendre, mais il paraît que j’ai une mauvaise influence, ajouta-t-il en souriant.
- D’ailleurs en parlant de ça, repris Kirsten en détachant les yeux de sa fille, Sandy et moi aimerions bien vous demander un petit service.
- Hmm ? firent les deux garçons de concert.
- Vous vous souvenez de cette seconde lune de miel dont avait parlé il y a longtemps.
- Bien sûr qu’on s’en souviens, c’est le soir où tu nous a annoncé que tu étais enceinte, fit Seth.
- Oui, continua Ryan, et vous aviez finalement décidé de remettre ça… à plus tard, termina-t-il en hachant ses mots, comme s’il venait de comprendre quelque chose.
- Vous nous demandez de garder ce petit monstre blond ? sufoqua Seth.
- Seth ! se récria Sandy. C’est ta petite sœur.
- Oui, et puis vous êtes les seuls en qui nous avons suffisamment confiance.
- J’y crois pas, murmura Seth à l’égard de Ryan. Ils nous ressortent encore une fois la carte de la confiance.
- Et moi j’arrive pas à croire que ça puisse encore marcher.
- Alors c’est d’accord ? demanda Kirsten.
- On a vraiment le choix ?
- Non, firent les deux parents en se consultant d’un regard.
- Et on va rester à Newport pour les vacances ? demanda soudainement la voix aigüe de Sophie, qui s’était glissée derrière eux.
- Elle appelle ça des « vacances », fit Seth d’un regard implorant vers ses parents.
- Allons, fit doucement Kirsten, c’est l’occasion de passer du temps avec ta petite sœur. Et avec Ryan. Vous vous retrouvez si rarement tous les 3.
- Mais maman, je viens juste de me marier, et je…
- Seth. Ta lune de miel viendra plus tard.
- J’y crois pas ! Vous partez en lune de miel alors que vous êtes mariés depuis quoi ? 50-60 ans ?
- Oui, tu vois, tu vas devoir patienter pour la tienne, répondit Sandy d’un air satisfait.
- Et de toute façon, Summer nous a dis qu’elle préférais attendre quelques mois, renchérit Kirsten.
- Mais…
- Seth…
- Ryan ne peux pas s’en occuper ?
- Hey !
- Désolé mec, mais là on est dans la même galère.
- Quand je pense que c’est toi qui voulais revenir à Newport Beach.
- Non, en fait c’est Summer.
- Ha ouais, forcément, ajouta Ryan, moqueur. C’est bien ce que te disais, Môsieur Summ..
- Bon, allez, ça suffit, vous ne nous aurez pas à ce petit jeu, coupa Sandy. Vous allez vous occuper de votre sœur. Vous êtes en vacances, vos projets de mariage ou autre sont terminés, alors vous avez le temps. Et puis nous… On a VRAIMENT besoin d’un break, glissa-t-il en regardant son amour de petite fille.

Part C

Taylor entra comme une tornade. Elle avait encore oublié de sonner. Evidement, elle avait vécu quelques mois ici, alors c’était devenu spontané pour elle de rentrer dans cette grande bâtisse.
- Taylor ? sursauta Summer en voyant son amie débarquer.
- Oups, désolé Summer, je n’ai pas sonné, mais bon tu comprends comme j’ai habité ici un moment, il m’arrive d’oublier que ce n’est plus le cas, en plus j’ai vraiment la tête en l’air en ce moment, enfin je ne sais pas si on peut dire que c’est seulement en ce moment, tu me connais j’ai toujours été un peu névrosée, enfin, c’est comme ça que je suis hein. Qu’est-ce que je disais déjà ? Ha oui, je suis vraiment étourdie en ce moment, je pense que c’est dû à l’émotion, tu comprends, le mariage et tout et tout, et…
- Taylor, coupa Summer. Respire et ralenti s’il te plais.
- Désolée, je ne sais vraiment pas ce que j’ai en ce moment.
- Moi je le sais. Ryan Atwood, hein ?
Taylor se mit à rosir joliment.
- Tu comprends, je ne l’avais pas vu depuis un mois. Jusqu’à ton mariage. Enfin, ton mariage avec Seth, mais tu m’avais comprise.
- Calme toi, tout va bien se passer, fit Summer d’un voix apaisante, en souriant intérieurement.
Taylor était vraiment incroyable. Dans tous les sens du terme. Et la mettre en présence de Ryan Atwood, ça la rendais encore plus dingue que d’habitude. Ajouté à ça leur relation ambiguë et l’émotion liée au mariage, Taylor devenait complètement barje.
- Bon, parlons d’autre chose. J’en ai assez de t’embêter avec ça.
- Ca fait des années que ça dure, j’ai l’habitude.
- Oui mais… Qu’est-ce que tu fais avec ta robe de mariée ? demanda-t-elle précipitamment pour changer de sujet.
Summer regarda sa robe blanche d’un air rêveur.
- Hmm. Rien de spécial.
- Oooh, tu étais tellement jolie dedans, divagua Taylor. Toute de blanche vêtue, on aurait un ange, tu étais vraiment magnifique, ajouta-t-elle les larmes aux yeux.
- Non, tu ne vas pas te remettre à pleurer.
- C’est pas ma faute à moi, fit-elle en s’emparant d’un mouchoir, ça me fait toujours cet effet là à moi les mariages.
Summer la regarda, en ouvrant de grand yeux.
- Ca ne m’étonne pas, conclut-elle.
Puis elle se repris dans la contemplation de sa robe.
- Ca ne va pas Summ ?
- Hmm. Si, si. C’est juste que c’est fini tout ça.
- Fini ?
- Le mariage. Enfin, je veux dire, ça n’arrive qu’une fois dans une vie, ajouta-t-elle en touchant du bois. Et je…
- Ne t’inquiète pas. C’est la pression qui retombe. Et puis, ce n’est pas fini, ça ne fait que commencer. Ta vie commence vraiment.
Summer se tourna vers elle, les yeux brillants, et Taylor la prit dans ses bras quelques secondes.
- Allez, changeons nous les idées. Ouvrons tes cadeaux de mariage. Pourquoi tu les as fait envoyer à Newport d’ailleurs ?
- Parce que je ne voulais pas encombrer la maison des Cohen à Berkeley, et que je ne sais toujours pas où on va emménager.
Taylor réfléchit quelques instants.
- Oui, en effet, c’est une bonne excuse. Bon, on les ouvre ?
- Sans Seth ?
- Parce que c’est lui qui s’est tapé tout le boulot de la préparation du mariage ? fit Taylor d’un air suffisant.
Summer fit une moue dubitative.
- T’as raison. Et puis, je suis la mariée. Je fais ce que je veux !
Elle se précipita vers la pile de cadeau et s’empara de un au hasard.
- Un mixer ? Qui peut bien offrir un mixer à un mariage ?
- Heu… fit Taylor d’un air gêné.
Summer se retourna vers elle et son visage passa du blanc au rouge.
- Non, parce que c’est vraiment génial ! Je n’en avais pas… Enfin… Deux mixers ça peut être utile ! C’est de toi ?
- Oh, ça va, je vais t’acheter autre chose, fit Taylor en lui reprenant la boîte des mains.
- Quelque chose de joli ?
- Oui, oui, quelque chose de joli. M’enfin, celui là, il ne fera pas la cuisine et n’aura sûrement pas sa notice en 8 langues, ajouta-t-elle.
On sonna à la porte.
- Tu peux aller ouvrir ? demanda Summer. J’espère que ce n’est pas Seth, il va me tuer s’il voit que j’ai ouvert un cadeau sans lui, fit-elle en s’emparant distraitement d’une simple enveloppe.
- Seth ? Te tuer ? Pff, fit Taylor d’un air moqueur en se dirigeant vers l’entrée, laissant son amie partir dans la cuisine cacher les bout de papier cadeau qui traînaient par terre.
Taylor ouvrit la porte en grand. Mais elle n’était vraiment pas préparer à ce qu’elle allait trouver derrière.
- Ryan ? dit-elle en ouvrant la bouche.
- Oh. Taylor, fit le garçon, visiblement gêné.
- J’aurais dû m’en douter, murmura Taylor, c’était tellement prévisible.
- Hein ?
- Non, non rien.
Seth passa à côté d’eux, en traînant Sophie par la main.
- Wow, gênant comme situation, dit-il platement en regardant ses deux amis qui se regardaient dans le blanc des yeux, sans rien dire. Enfin, vous aurez le temps plus tard pour…
Il esquissa un geste vague de la main.
- Pour ce que vous faites là quoi. Où est ma femme ?
Il s’arrêta une seconde.
- Ma « femme ». Ca fait bizarre.
- Oui, ça nous fait bizarre à tous, railla Taylor en sortant de son mutisme. Elle est dans la cuisine.
- Merci. Restez là tous les deux, dit-il en regardant ses amis qui étaient retombés dans leur silence gênant. Sophie, tu veux bien rester avec Ryan ? dit-il en se penchant vers sa petite sœur. Je dois parler avec Summer et ça risque de chauffer, fit-il d’un air mal assuré.
- Je peux me garder toute seule, fit la petite fille d’un ton mutin.
- Non, en fait, je gardais sur toi pour les garder EUX, fit-il en jetant un coup d’œil à Ryan et Taylor. Bon, j’y vais.

Seth se glissa dans la cuisine, où il trouva Summer, les yeux dans le vague.
- Chérie ? Il faut que je te parle d’un truc. Je ne suis pas certain que ça te plaise mais je n’ai pas vraiment eut le choix.
Summer ne se retourna pas.
- C’est la journée des muets ou quoi ? murmura le jeune homme pour lui-même. Chérie ? Qu’est-ce qui se passe ? dit-il en arrivant à la hauteur de sa femme.
La jeune femme se tourna vers lui.
- Ca, dit-elle seulement en lui tendant une lettre.
- Qu’est-ce que c’est ?
- Une carte.
- Oui, j’avais remarqué. Mais qu’est-ce qu’elle a de si spéciale ?
Les yeux de Summer se mirent à briller.
- Elle vient de ma mère…


A SUIVRE…

episode 2 The new beginning

Chapitre écrit par rayanyanya (!!!style d'ecriture differrente!!!)

Part A


J’ouvre un oeil et je vois le soleil déjà haut dans le ciel. Hmpf. Il faudra bien se lever. Je tourne la tête vers le côté du lit où devrait normalement se trouver ma magnifique femme, si elle était une marmotte comme moi, bien sûr.
- Haaaaaaaaaaaaaaa ! m’écriais-je.
Taylor est installée sur un siège, face à mon lit, et me regarde l’air mutine, les bras croisés.
- Je t’ai fait peur ?
- Hummm … Un peu. Je réponds et je me retourne. Je n’aime pas qu’on m’agresse dès le réveil. Et avec Taylor, c’est même plus de l’agression, c’est de l’harcèlement.
Je l’entends se lever et je me crie victoire intérieurement. J’attends patiemment que la porte claque pour me lever.
La porte ne claque pas.
Je ré-ouvre un œil et la voit, plantée devant moi.
- Je suis définitivement plus têtue que toi.
- Pas d’hésitations possibles.
Elle s’assied sur le lit et commence sa litanie cent fois ressassée dans nos conversations TaySethiennes.
- J’aimerais parler à Ryan, mais tu vois, ce n’est pas aussi simple ! J’ai du mal, un blocage, dès que je pense à lui, je rougis et je me mets à parler vite … enfin plus vite encore que la normale. Si tant est qu’il y a une partie « normale » chez moi et …
- Hmpf. Je n’ai pas envie de parler de Ryan.
Et hop, je me retourne. Non, je ne suis pas le bureau d’information « Ryan Atwood »
- C’est ton meilleur ami, Seth.
Je viens de dire que je ne suis pas le bureau d’information de mon meilleur ami.
- Ca ne veut pas dire que j’ai les réponses à toutes tes questions.
- Je n’en ai pas tant que ça …
- Des billions.
- Tsss.
- Ne me tsss-pas.
- Je veux parler à Ryan, Seth.
Bon, okay. J’ai compris. Elle est plus têtue que moi, abandonnons la bataille, elle est perdue d’avance. Je me redresse dans le lit et la regarde.
- Je t’écoute.
- Je veux vraiment lui parler. Qu’est-ce que je dis ?
- « Bonjour » ça me semble bien.
- Haha, tu te crois drôle ?
- Pardon, humour Cohenien au matin c’est toujours moyen.
- Je lui dis quoi, Seth ?
- Tu sais, avec Ryan, ne joue pas sur la subtilité. Va droit au but.
- Genre « Ryan, tu es incroyable, tu me fais rire … »
- Il va croire que tu lui mens ! la coupais-je.
Elle me regarde, vexée.
- Je le trouve drôle figure-toi !
- Et bé …
- C’est pas comme toi ! Je trouve que ton humour devient de plus en plus pourri ! me balance-t-elle en croisant les bras, un air de défi sur le visage.
C’en est trop, dès le matin, comme ça. J’éjecte les couvertures, me lève rapidement et enfile mon peignoir. Je vais passer la porte quand je la sens sur mes talons.
- Si tu crois que tu va échapper à cette conversation.
- Parle-lui de tout et de rien et puis balance ce que tu as à lui dire entre deux phrases anodines.
Je la sens se stopper dans mon dos et me retourne, un sourire aux lèvres.
- C’est une idée.
- J’ai toujours de bonnes idées, surtout le matin.
- C’est faisable …
Je me remets en route et elle se remet à me suivre.
- Taylor ? On n’avait pas dit que c’était une motion adoptée ? lui lançais-je, tout en continuant mon chemin.
- Elle n’a pas été approuvée à la majorité.
On est en train de descendre les escaliers et je soupire. Je me stoppe net et me retourne vers mon amie.
- Toi, tu es d’accord, moi, je suis d’accord. Je pense que la majorité a parlé.
- On pourrait peut-être tout de même … euuuh …
Je croise les bras et attend.
- On pourrait demander à Summer.
- On pourrait rien du tout. Tu adoptes mon plan. La majorité a parlé.
- C’est pas parce que tu es un homme que tu es majoritaire.
- Tu es une froussarde, Taylor Townsend.
Et hop, je me remets en marche. Elle me suit, bien évidemment, et je la sens fulminer derrière moi. Avant de pénétrer dans la cuisine, je me retourne à nouveau et elle me suis tellement de près qu’elle me fonce dedans.
- Et puis, si tu ne veux pas m’écouter, je ne vois pas pourquoi tu me demandes mon avis !
Sur ces mots, je la plante là et je rentre dans la cuisine où je trouve ma magnifique femme en train de … cuisiner ? Au feu, les pompiers, la maison va crâmer !

Part B

Je m’approche lentement et hume l’odeur … étrange … qui s’échappe de la poêle.
- Tu fais quoi là ? fis-je dans une grimace
- Je te prépare ton petit déj.
- Il a l’air … plus que cuit.
- Peut-être parce que tu te lèves super tard ! dit-elle en mettant ses mains sur ses hanches.
Touché. Je sifflote et vais m’installer à la table. Rien ne sert de discuter, je n’aurais jamais le dernier mot … et si même je l’avais, j’aurais en prime la spatule plantée au milieu du front. Mieux vaut être prudent.
- Ryan a appelé, me dit-elle en m’apportant les pancakes carbonisés.
- Et ?
- Il te demande de le rejoindre à la plage.
- Pourquoi ?
- Je ne suis pas ta secrétaire, Cohen. Je suis ta femme. C’est déjà bien beau que je te prépares le petit déjeuner.
Oh oooh. La petite Madame Cohen a l’air énervée. On a pas vraiment discuté de ce qui s’est passé hier. Elle ne m’a même pas engueulé pour avoir accepté de garder Sophie. Je sais pertinemment qu’elle ne voulait pas s’attarder à Newport et voilà que maintenant, on va devoir y passer quelques temps. Mais elle n’a pas bronché. Pas même une remarque désobligeante. Je crois que la carte de sa mère l’a vraiment touchée mais j’ai du mal à trouver les mots qu’il faut pour lui parler de ça. Alors j’évite un peu le sujet, attendant qu’elle m’en parle d’elle-même. Après, j’improviserais. Je m’approche d’elle et la serre dans mes bras.
- Merci mon ange.
Je dépose un baiser dans son cou et m’éloigne pour rejoindre la salle de bains.
- Tu ne manges pas ?
- J’ai pas faim.
- Cohen !
- Je suis pressé.
- Tu es pressé ou tu n’as pas faim ?
- Les deux !
Je lui balance un sourire et elle soupire. A peine retourné pour continuer mon chemin et je sens un pancake qui me frôle l’oreille et qui va atterrir sur le mur en face de moi. Haaaan ! Je me retourne et me prend le suivant en pleine figure.
- Alors ça, tu va me le payer ! fis-je en me jetant sur elle.
J’attrape la pâte qu’elle n’a pas utilisé et la badigeonne partout sur son joli visage. Elle rigole comme une folle, se débat et attrape le pot de Nutella.
- Noooon ! Pas le choco …
Et paf, je suis tartiné comme un toast qui sort du four. Elle rigole et passe son doigt sur mon visage. Ce qu’elle ne sait pas, c’est que pendant ce temps, j’ai attrapé le pot de confiture qui se trouvait derrière moi et que je l’ai dévissé discrètement.
- Ripooooooooste ! m’écriais-je avant de la couvrir de mon attaque de confiture.
On fait valser la farine, le sucre, l’eau. Ses cheveux ne ressemblent plus qu’à une immonde pâte rougeâtre et graveleuse. Je ne dois pas être mieux. Elle est en train de me tartiner de crème quand on entend une voix lasse derrière nous.
Sophie — Une bataille de bouffe ? Vous trouvez pas que ça fait un peu mauvais soap américain ?
Ma charmante petite sœur. Y a pas à dire, elle a tout du Atwood de base. Mauvaise humeur au réveil, regard qui veut tout dire, …
Summer et moi nous arrêtons de rire pour la regarder traverser la pièce, se servir un verre de jus d’orange et s’installer à table devant un magazine. On se regarde et on pouffe de rire de la situation. Et dire que c’est nous les adultes.
Sophie — Vous pourriez par exemple aller prendre une douche. Mais séparément s’il vous plaît. Et puis, vous êtes priés de ramasser tout ce bazar que vous avez fait, nous dit-elle sans cérémonie, en agitant le bras vers la scène du crime, sans lâcher le magazine des yeux.
Atwood ? J’ai dit Atwood ? J’ai peut-être aussi oublié de mentionner Cooper. Julie Cooper. Elle a parfaitement le genre pour devenir la nouvelle Julie Cooper. Encore plus quand elle prend ce genre dédaigneux qui nous fait sentir pire qu’une merde. Ma sœur est la digne relève de Julie Cooper. Aidez-moi ! Je suis un Seth Cohen, sortez-moi de là !
- Tu ramasses Cohen, je vais me doucher ! me lance ma charmante épouse ressemblant plus au cousin Machin qu’à quelqu’autre personne en ce moment.
Et elle se barre. La petite daigne enfin lever les yeux de son magazine pour me regarder et sourit.
- Allez, Cohen, t’as entendu, ramasse ce chantier !
Et hop, elle s’enfile un coup de jus d’orange. Ahhhh les femmes ! Je lève les yeux au ciel et commence à réparer les dégâts. J’en profite pour balancer les pancakes à la poubelle avant qu’ils n’arrivent à réaliser leur dessein diabolique : empoisonner quelqu’un. Sophie continue à me zieuter par à coups, au-dessus de son magazine.
- Tu pourrais venir m’aider, petite ingrate.
- J’ai pas mis tout ce bazar moi.
- Ca n’enlève rien au fait que tu pourrais aider ton grand frère.
- Tu comptes m’attendrir ? Parce que ça ne marche pas du tout.
Allez, au diable l’avarice, je lui balance mon air de chien battu pour qu’elle craque. Elle me regarde, sourit et finit par se lever. Ha haaaa ! Je savais que personne ne pouvait résister à mon regard de teckel ! Elle s’approche, passe sur le tas de crasse que j’ai fait et continue son chemin.
- Pour info, ce regard-là ne fonctionne qu’avec maman ! me balance-t-elle avant de quitter la pièce en sautillant.
Je la regarde partir et voit qu’elle fait plein de petits pas de crème partout dans la maison
- Sophiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie !
Trop tard, le mal est fait. Mais qui m’a affligé d’une sœur pareille ?

Part C

Quand j’ai bien fini de tout ramasser, j’empoigne le téléphone et compose ce numéro que je connais par cœur. A l’autre bout du fil, cette voix que je connais tant et qui me fait du bien.
- Salut, tu vas bien ? fis-je, détendu
- Je n’attendais pas ton coup de fil.
- J’avais envie de t’appeler.
- En voilà une nouvelle maintenant !
- Ta voix me manquait.
- On s’est parlé avant-hier.
- Donc je ne te manque pas ?
- On s’est vus trois fois ce mois-ci, on peut s’estimer heureux !
- Je vois, je vois, dis-je en esquissant un sourire.
- Ne fais pas ton vexé !
- Non mais j’ai compris, je suis résigné.
- Tu fais quoi là ?
- Je ramasse les dégâts d’une bataille de bouffe.
- Summer et toi, hein ? fait la voix, riante, à l’autre bout du fil.
- On ne peut rien te cacher.
- De vrais gamins …
- On ne se refait pas …
- Tu l’embrassera de ma part ?
- Je n’y manquerais pas !
- Alors aurevoir, Cohen !
- A bientôt.
Je repose le téléphone et sourit. Ces appels me font du bien. Je file vers ma chambre pour aller m’habiller. Il faut absolument que je rejoigne Ryan avant qu’il ne s’impatiente. Quoique … pour que Ryan s’impatiente, il en faudrait déjà pas mal. Mais bon, je préfère ne pas tenter le diable … Bien que je ne compare pas Ryan au diable, loin de là. Mon frère de cœur. Ca fait tellement de bien de le retrouver. On n’a jamais le temps de se voir. Encore moins le temps de s’appeler. Je crois qu’on se laisse emprisonner par nos vies. Et dire qu’on était inséparables ! En fait, on l’est toujours. Rien ne peut briser ce lien merveilleux qu’il y a entre nous. Même la distance, même le temps … On est Seth et Ryan quoi. Ensemble, unis pour le meilleur et pour le pire. Eh oui, comme de parfaits nouveaux mariés sauf que ça nous a pris directement après notre rencontre. Sans cérémonie, sans serment. Juste un regard, un geste et c’était fait, on était liés à jamais. Les épreuves qu’on a vécu tous les deux, ensemble ou séparés, ont fini de nous rapprocher. La vie nous a joué un beau tour pour une fois.
Je croise Summer dans le couloir, elle est toute propre et j’ai envie de la cajoler.
- Tu t’approches, Cohen, et je t’émascule !
Wow, elle lit dans mes pensées. Alors c’est ça être marié ? Elle a accès direct à ce que je pense ? Et pourquoi j’ai pas le même accès moi ? Peut-être parce que j’ai pas encore déchiffré le mode d’emploi. Summer est complexe. Je ne sais pas qui peut l’aider quand elle se renferme. J’aimerais être celui qui l’aide mais je ne le suis pas encore. Je suis près d’elle, je la soutiens physiquement, mais je ne peux pas encore faire grand chose d’autre.
Je la regarde s’éloigner et file me doucher. Mon Dieu, la farine sous l’eau, c’est insupportable. Ca fait de gros grumeaux. Je sens qu’en plus, je vais devoir laver la douche. Contre bon gré, mal gré, je le fais. Comme ça, j’évite toute remontrance. Je finis donc de me préparer, attrape mes clefs et me dirige vers l’entrée quand j’entends Summer qui me rappelle.
- Cohen ! Tu vas où ?
- Rejoindre Ryan ! fis-je en me retournant pour la voir apparaître elle aussi dans le hall d’entrée.
- Bien.
- Bien.
Je m’approche, dépose un bisou sur ses lèvres et ouvre la porte pour m’en aller.
- Cohen.
Ou pas.
- Oui, chérie ?
Je me retourne et lui sourit. Elle a les bras croisés sur la poitrine. Ca n’augure rien de bon.
- Tu prends ta sœur.
- Je vais rejoindre Ryan !
- Je m’en moque ! Je n’ai rien dit qu’on reste ici pour les vacances …
Aie, aie, aie … Ca va chauffer.
- … mais je refuse qu’elle reste enfermée ici toute la journée ! Emmène-la faire un tour !
Ah. Finalement non. J’acquiesce et appelle Sophie qui me rejoint en trottinant.
- Et on va où ? me demande-t-elle, mutine.
- Rejoindre Ryan.
- Ah enfin !
- Ca veut dire quoi ça ?
- On va enfin voir le plus comique des deux !
- Oh oh ohhhh ! Retire ça jeune fille! Je suis le comique du trio !
- Tu te laisses aller ces derniers temps.
Haaaan ! Faut que je me remette en selle ! Ma sœur ne peut pas penser ça de moi ! C’est moi le comique de l’histoire, punaise !
Summer me regarde avec un sourire charmeur sur le visage. Je m’approche et l’embrasse.
- Tu es toujours le plus comique de tous pour moi, me glisse-t-elle à l’oreille.
Ouf. Rassuré. Ma sœur est une ingrate mais ma femme est adorable.
- Je t’aime.
- Moi aussi, me répond-elle en m’embrassant, amusez-vous bien !
J’attrape mon ingrate de petite sœur par la main et on s’en va.

Part D

On arrive à la plage et Sophie se barre en courant vers mon frérot assis sur un banc. J’ai hâte de lui parler. Il n’a pas voulu venir chez Summer pour nous laisser un peu d’intimité, mais il me manque. J’aime pouvoir le voir dès le matin et commencer la journée par une de nos discussions Seth/Ryan comme on sait si bien les faire. Sophie court après les pigeons pour les faire dégager pendant que je me pose à côté de Ryan qui la regarde faire, un sourire sur le visage.
- Tu ne salues plus ton Seth ? fis-je mi-figue, mi-raisin.
- J’ai eu un appel de Taylor ce matin.
- Oh.
- Ah.
- Uh ?
- Elle m’a parlé du temps, de Newport et furtivement, elle a glissé quelque chose sur nous deux.
- Oh ?
- J’ai reconnu ta patte, Seth.
- Ah bon ?
- Au premier coup d’œil. C’était flagrant.
- Elle m’a demandé de l’aide.
- Pour me parler ?
- Ouaip. Il paraît que je serais un expert es-Ryan.
- Elle s’est trompée d’adresse non ?
- Je ne te permets pas, m’exclamais-je vexé.
- Parler de tout et de rien pour me glisser quelque chose d’important. C’est tellement banal.
- Ne fais pas celui qui me connais ! Je te connais, tu ne me connais pas.
- Pour ce que j’en dis.
- Ne dis rien, je préfère …
On se tait, continuant à regarder notre petite sœur terrorisant les pauvres volatiles.
- On devrait peut-être lui dire d’arrêter, me lance-t-il, amusé.
- Laisse-la s’amuser … et se fatiguer.
- Elle est si épuisante ?
- Disons que Julie, à côté d’elle, c’est une sainte…
Il se marre. Ca lui change un peu de cet air sérieux qu’il avait sur le visage quand je suis arrivé.
- Pour Taylor, tu vas faire quoi ? osais-je
- A toi de me le dire.
- Je suis spécialiste es-Ryan pas es-Taylor. Les études étaient trop compliquées.
- Essaye toujours.
- Aheum … Vis ta vie mon vieux, tu es grand maintenant, faut voler de tes propres ailes.
Je me lève et file rejoindre ma sœur. On court comme deux fous après les oiseaux quand la chose la plus improbable arrive : Ryan nous rejoint et commence une course folle avec nous pour savoir lequel fera fuir le plus de pigeons.
La vie est simple, la vie est belle quand on est réunis. Quoique …

A suivre ...